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MangerNon classé

Voir un film où l’on fait l’apologie de la sauce du Relais de l’Entrecôte et la déguster juste après, c’est ça aussi la vie à Paris.

En effet, lundi soir après avoir vu en avant-première le très bon film « Et soudain tout le monde me manque » avec Mélanie Laurent et Michel Blanc , alors qu’on se remettait tranquillement de nos émotions en se baladant du côté de Saint Germain, au hasard d’une rue adjacente « Aux deux magots », on se retrouve nez à nez avec le fameux Relais de l’Entrecôte.

N’ayant pas diné et songeant au succès que va certainement rencontrer l’endroit après la sortie du film, on a sauté sur l’occasion d’y manger pour la première fois.

Et quelle bonne surprise et découverte !

Un accueil sympathique avec la particularité de cette brasserie : un seul plat principal , l’entrecôte avec ses frites et sa fameuse sauce dont on a un peu de mal à deviner l’exacte composition.

On vous accueille avec une salade vinaigrette et ses morceaux de noix, le temps de choisir une petite bouteille de vin rouge du même nom que l’endroit.

Il semblerait que l’on est eu de la chance puisque l’endroit est très prisé surtout par des habitués. Arrivées à même pas 22H, nous n’avons pas patienté plus de 10 min.

Voici donc le plat unique maison qui occupe une bonne partie du film de Jennifer Devoldere : La viande est hyper tendre, les frites fines et la sauce laisse deviner un goût de moutarde et de persillade, pour le reste on vous laisse tester.

Si vous voulez combler un homme, ici c’est magique on vous ressert deux fois !


Même si la faim n’était pas assez importante pour un lundi soir, le succès rencontré par les profiteroles maison avec la sauce chocolat fumante ont eu raison de nous. Il faut dire que l’agréable serveuse Laura et son charmant accent du Sud Ouest n’ont pas mis longtemps à nous convaincre.
Et c’était fabuleux ! Hummmmm et ce chocolat… j’y pense encore.

Une bonne adresse, parfaite pour un combo/séduction. Perso, si Monsieur a le physique de Guillaume Gouix, qu’il m’emmène au ciné voir le film et ensuite me glisse sans prévenir dans ce restaurant, je l’épouse (ou presque) juste après les profiteroles.

Montant total de l’addition : 65€10.

Sur Paris, il existe 3 Relais de l’entrecôte.

Paris 6ème 20, rue Saint Benoit (C’est là que vous pourrez voir Laura)
Paris 6ème 101, boulevard Montparnasse
Paris 8ème 15 rue Marbeuf

Le film sort le 20 avril au cinéma.

5 comments
  1. Lemecdujuridique

    Cette franchise s’appelle en province : « L’entrecôte » et est assez connue à Nantes par exemple. J’en ai même retrouvé un à Londres (choppé dans une petite annonce de journal gratuit type métro).

    C’est juste le paradi, même si sur la photo les frittes ont l’air moins délicieuses qu’à Nantes, tu m’as redonné l’envie d’y faire un tour bientôt 😉

  2. lemomentM

    Contente que ça t’aies fait envie ! mais pas certaine que tu parles de la même franchise.
    Parce que visiblement il y a beaucoup de copies comme par exemple la Brasserie de l’Entrecôte près des Halles.
    Là on parle vraiment de la franchise du « Relais de l’Entrecôte » ce qu’il précise bien dans le film et au restaurant.

  3. Lemecdujuridique

    Ecoute ta description est identique à ce que je connais à Nantes. La petite salade avec vinaigrette et noix, la sauce recette secrète, les tranches fines de boeuf où ils te demandent juste la cuisson, le rouge maison, les profiteroles, etc etc

    Bref j’ai hâte d’y retourner ! Fait chier j’ai faim maintenant 🙁

  4. mab

    La franchise qu’évoque Lemecdujuridique c’est bien l’Entrecôte avec son plat unique : http://goo.gl/YOZLX (Toulouse, Bordeaux, Nantes, Montpellier, Lyon)

    Celle dont il est question ici en est une autre semble-t-il : http://goo.gl/23PZy

    Mais le principe à l’air d’être le même. Ensuite à savoir laquelle est la copie de l’autre… Je doute de l’importance d’une telle réponse ^^

    Après avoir fouillé un peu, les deux franchises parle de Paul Gineste de Saurs Et en cherchatn sur lui, on découvre ceci : http://goo.gl/IyJLc

  5. France

    A bordeaux, l’entrecôte est incontournable. La sauce, complètement addictive, provoque chaque jour une queue qui peut facilement dépassée 30 minutes.

    A Paris, je me suis rendue 3 fois à celui de Marbeuf et j’ai été très déçue. Toutes les franchises ne se valent pas.

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